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Histoires

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Gérer une entreprise dans le domaine de la culture, de l’événementiel et des médias, c’est toute une aventure.
Ici nous partageront certaines anecdotes et histoires à propos de la vie du studio, sans chronologie, mais sous forme de bloc note.
Depuis 2018, on en a vu, on a eu beaucoup de moments de bonheur, quelques moments difficiles, et il nous semble intéressant et important de vous en faire part.
Tout a commencé par un rêve, une idée.
Puis après un chantier riche en émotions, le début d’une grande aventure humaine et artistique.
C’est aussi pour l’équipe la première aventure entrepreneuriale.
Tout ça fait de cette aventure un écrin plein d’histoires.
Évidemment, nous allons traiter tout ça sous l’angle de la bienveillance, des anecdotes oui, de l’humour bien sûr, des informations à foison, et du matos, parce qu’on aime bien ça.

Premier montage de la batterie avant la séance.
Séance de prise de batterie
Phase 1 : détruire pour reconstruire
Phase 1 : détruire pour reconstruire

Le chantier du studio

L’idée de fonder le studio est venue à Nicolas en 2017, après un stage d’une semaine au studio la Fabrique (Saint Remy de Provence) avec le producteur américain Joe Chiccarelli qui a notamment travaillé avec les White Stripes, Alanis Morissette, Jason Mraz, et tant d’autres.
Ce stage a été organisé par Mix with the masters, le site de formation audio pro.
Après avoir fréquenté des producteur du monde entier, une évidence s’est imposé, c’est possible !
Le choix du local s’est porté sur une ancienne charcuterie de Bagnolet, comme en atteste toujours la devanture. Pour qui ne sait pas, on dirait juste un commerce de bouche fermé (le rideau de fer reste baissé mais la lumière du jour pénètre).
À l’époque, Nicolas est régisseur général et éclairagiste de la tournée de Dany Boon, mais son truc, c’est le studio. Musicien depuis sa prime jeunesse, rien ne ressemble plus à son idéal professionnel que d’avoir son propre studio et d’y accueillir et d’y produire des artistes.
Avec le concours d’Adeline et Marion, et l’aide d’une poignée de copains et copines, il a retroussé ses manches et a donné des coups de marteaux en avril 2018.
Il faut savoir une chose, construire un studio, c’est construire ce qu’on appelle une « boite dans la boite », c’est à dire qu’il faut doubler toutes les parois, y compris les sols et les plafonds, afin de protéger l’intérieur de l’extérieur, et vis-versa.
Les parois font donc entre quinze et vingt centimètres d’épaisseur, mais le chantier n’a pas consisté qu’en ça. Il a également fallu repenser tout le système électrique pour qu’il soit indépendant et adapté, ainsi que la climatisation, la VMC, l’éclairage, le réseau audio, tout ça en veillant à ce que l’endroit soit fonctionnel et accueillant.
L’aventure était folle, les efforts intenses, les larmes et le sang (mais vraiment !), mais ils n’ont rien lâché.
Conformément au planning, la console Neve a été installée en juillet.
En septembre, le studio était fonctionnel, et en novembre, on fêtait l’inauguration de ce lieu atypique.
Un projet un peu fou, mais tellement cool !

 

STUDIO ET BÉBÉ

Ce studio, c’est le rêve de Nicolas depuis longtemps. Pour la première fois toutes les conditions sont réunies : un local, du temps, un budget, et une détermination sans faille.

Mais l’histoire du studio est indissociable de la naissance de Jeanne, la fille de Nicolas, les deux sont arrivés à 1 mois d’intervalle, et il a fallu faire le choix… de ne pas faire de choix !

C’était un dilemme, et en même temps une évidence. Le bébé d’abord.

Le chantier du studio a débuté en avril 2018, et au même moment, Adeline est tombée enceinte. Elle a malgré tout aidé comme elle pouvait dans toute la phase de travaux et une partie du mérite lui revient.

Le studio était opérationnel en septembre, pari réussi.

Pas évident de lancer une entreprise et de devenir papa. Il faut gérer deux agendas, deux temporalités. D’un côté, il faut se lever toutes les 3 heures pour donner un biberon, changer des couches, apprendre à être un papa. De l’autre, il faut gérer des clients, enregistrer, finir des mixes, éditer des factures, envoyer des pièces au comptable, etc.

Pas facile.

Mais malgré les doutes, les difficultés, les choses ont fini par s’organiser. Chacun a trouvé ses marques, et le studio a pu grandir.

 

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